Nier les avances de l´adoption des normes comptables internationales est rester prisonnier d´un passé pire qu´il n´y paraît

Data Original: 03/04/2011
Postado em: 22 de novembro de 2016 por: Reginaldo Alexandre
-Categoria(s)

Artigos em Francês

- Marcado com Tags:

Un dessein fou animait les errances de Don Quichotte sur La Manche: ressusciter  un passé opaque et reculé – qui peut-être n´a jamais existé – dans lequel les aventuriers parcouraient le monde en aidant les faibles, en réparant l´injustice et en faisant le bien.  C´est avec cette disposition de retourner à une époque qui n´existe plus qui certains ont vu l´application des normes comptables internationales (IFRS, son sigle an anglais).

Le monde, cepedant, continue, nécessitant des solutions plus complexes et complets et que en même temps, comment ils prétendent ces principes, répondent aux exigences de transparence et d´une vaste portée d´utilisation.

Les normes comptables internationales sont aujourd´hui utilisées par plus d´une centaine de pays.   Tous les pays développés les utilisent, à l´exception des États-Unis, qui, cependant, peut les adopter bientôt.  L’organisme chargé de l’élaboration des normes comptables internationales, IASB, et son semblable américain, FASB, sont à la recherche d´une convergence entre les deux systèmes.

L´intégration croissante du marché de capitaux brésilien sur la scène economique internationale a imposé la convergence de comptabilité du pays à celle pratiquée à l´extérieur.  Cet adaptation est devenu essentielle, parmi d´autres raisons, pour éviter la situation de la même realité être exprimée par deux répresentations comptables (une selon les normes comptables brésiliennes et l´autre, selon les règles comptables américaines ou internationalles), distinctes et capables de provoquer des erreurs d´interprétation.

Les problèmes de la norme précédente n´étaient pas limitées à la nécessité de concilier et d’expliquer ces différences, qui s’étendent à plusieurs autres aspects. Les analystes et autres utilisateurs d’états financiers n´avaient pas les flux de trésorerie disponibles. Ils ont été contraints de jongler pour obtenir des informations par segment d’activité des entreprises, n´obtenant presque jamais de valeurs fiable.

La juste valeur était un concept dont on ne tenait pas compte: n´éxistait pas la nécessité d´enquêtes périodiques sur la permanence de la substance économique des actifs. Il y avait aussi des problèmes avec l’évaluation des passifs et de la reconnaissance des revenus. On privilégiait la forme au détriment de l’essence. Des quantités et des flux fondamentaux n´apparaissaient pas bien identifiés  dans les états de la situation financière et les comptes de résultats des entreprises.

Ce ne sont là que quelques exemples de troubles qui ne sont pas toujours visibles à cause de ce regard indulgent qui nous portons suvent sur le passé. Il ya un peu de Don Quichotte en chacun de nous. L’ancienne norme, formelle et basée sur des règles, n’a pas les caractéristiques de l’exhaustivité, de la compréhensibilité, de la fiabilité et de comparabilité exigées par la mondialisation. Cette opacité des états financiers coûtait cher aux entreprises brésiliennes et à leurs émissions d’emprunts dans des pays étrangers parce que le prix de l’argent monte toujours quand la perception du risque augmente. Il est préférable d´assimiler la nouvelle norme et de parler une langue que le prêteur et l’investisseur comprennent.
Il n’y a aucune raison de regretter le mort glorieux. Ou bien nous adoptions le nouveau système ou allions dans le sens contraire de la marche du monde. Il conviant de remplacer la nostalgie par une action de notre intérêt. Les normes internationales sont un système ouvert basé sur des principes et des jugements, et sont en constante évolution. Il y a beaucoup d’améliorations à mettre en œuvre dans les prochaines années. Le Brésil peut et doit participer activement aux discussions sur ces améliorations, individuellement ou par une action conjointe avec d’autres pays latino-américains, ce qui serait plus approprié pour augmenter le poids des revendications.

Sobre

Economista, com vinte anos de experiência na área de análise de investimentos, como analista, coordenador, organizador e diretor de equipes de análise, tendo ocupado essas posições, sucessivamente, no Citibank, Unibanco, BBA/Paribas, BBA (atual Itaú-BBA) e Itaú Corretora de Valores. Atuou ainda como analista de crédito corporativo (Citibank) e como consultor nas áreas de estratégia (Accenture) e de corporate finance (Deloitte). Hoje, atua na ProxyCon Consultoria Empresarial, empresa que se dedica às atividades de assessoria e prestação de serviços nas áreas de mercado de capitais, finanças e governança corporativa.

Powered by JCA Consulting – jcaconsulting.net.br